Prenez note des règles de sécurité

Il est important de prendre certaines règles de sécurité avant de commencer la fabrication de votre savon. En effet, vous devez porter des accessoires de protection pour éviter les éclaboussures. Achetez alors des gants ainsi que des lunettes et un masque de protection à cartouche. N’oubliez pas votre blouse pour travailler en toute sécurité. Pensez en même temps à protéger votre plan de travail à l’aide d’un papier journal. Par ailleurs, il est conseillé dans un endroit où vous ne risquerez pas le moindre dérangement. Il faudra en même temps faire attention avec l’utilisation des ingrédients pour éviter les accidents.

Procurez-vous les ingrédients nécessaires

Trois ingrédients sont indispensables pour réaliser votre savon bio à commencer par 1 L d’huile d’olive. Vous aurez aussi besoin de 128 g de soude caustique et de 300 ml d’eau. Vous devez savoir que la soude caustique est un ingrédient corrosif capable de vous bruler la peau. Il faudra alors faire très attention pendant sa manipulation. Ainsi, la soude doit être tenue hors de la portée des enfants ainsi que des animaux domestiques. Il faudra aussi faire attention à ne pas mettre le produit avec la peau et les yeux. En plus des ingrédients, pensez à vous procurer des récipients jetables pendant le processus de fabrication.

Suivez les étapes de fabrication de votre savon bio

Vous devez choisir le moule dont vous avez besoin pour fabriquer votre savon bio. Commencez par mélanger l’eau avec la soude caustique jusqu’à la dissolution des billes de soude. Vous allez ensuite mettre l’huile d’olive sur le feu jusqu’à obtenir du liquide. Enlevez ensuite la graisse pour la peser à nouveau tout en la laissant refroidir à la température que vous souhaitez. Vous pouvez mélanger le tout quand vous atteignez la même température. Faites des « 8 » pour le mélange tout en faisant une pause chaque minute. Mélangez votre préparation dans le moule et laissez le tout saponifier pendant 48 heures. Il ne reste plus qu’à démouler et à couper votre savon bio.

Réduire, réutiliser et recycler

De simples habitudes à adopter pourront changer le monde. On parle souvent de la réutilisation des sacs en plastique, ou on peut les réutiliser pour débarrasser les ordures ménagères. Les tissus usés peuvent être transformés en chiffons de nettoyage. Des déchets bien triés sont synonymes de réduction de déchets. Si vous avez un jardin, l’installation d’un composteur vous aide à améliorer votre potager, le compost est un bon engrais naturel. Vous pouvez y mettre les déchets organiques de chez vous. Certaines personnes ont tendance à vendre leurs matières d’occasions telles que les livres, les meubles ainsi que des vêtements.

Pensez à des solutions énergétiques

Si vous vous souciez des dépenses dans votre maison, les sources énergétiques naturelles sont moins chères et respectent aussi notre environnement. Les panneaux solaires sont les plus courants et les plus utilisés par les consommateurs d’énergies. L’utilisation des panneaux solaires est une solution à long terme pour le chauffage, la ventilation ainsi que la climatisation. Pour économiser plus d’énergie, pour la cuisson de vos repas, adoptez des casseroles qui convient de la taille de la plaque de cuisson. Si vous n’avez pas l’habitude d’éteindre les appareils informatiques pendant la nuit, vous pouvez commencer maintenant, si les lumières du jour semblent suffisantes dans chaque pièce, n’allumez pas la lumière. Les gens ont l’habitude d’allumer la lumière même si l’éclairage naturel est suffisant. Ces habitudes devront être adaptées par chaque famille, elles ne sont pas difficiles à réaliser alors qu’elles peuvent nous faire bénéficier de nombreux avantages.

Des objets funéraires écologiques

Les funérailles écologiques consistent à utiliser des matériaux biodégradables. Une urne bio peut par exemple être réalisée en sel, en carton ou en sable. L’utilisation de cercueils écologiques séduit aussi beaucoup de monde, non seulement en France, mais dans d’autres pays. Il faut en effet noter que les cercueils habituellement utilisés sont traités avec des substances chimiques. Comme alternative, le marché propose différents types de cercueils respectueux de l’environnement comme ceux réalisés en papier mâché, en bambou, en osier ou en carton. Ce type de cercueil se dégrade sans provoquer de pollution. Le cercueil en bois massif remplace celui en MDF, tout en limitant l’usage de la colle. Les poignées sont en cuir, en corde ou en bois et non plus en métal. Un cercueil en osier est fait en bois recouvert de rotin, tandis qu’un modèle en carton est conçu avec du carton aggloméré.

Les écolos jusqu’au bout, outre les cercueils et les urnes écologiques, peuvent aussi opter pour des cimetières écologiques et naturels. Écologiques, car ils se trouvent dans de vastes prairies ou dans des forêts, dans le respect des règles strictes. Pour ce genre de cimetière, il n’y a pas de stèle et de tombe pour indiquer l’emplacement de la sépulture. L’entretien de la végétation se fait sans produit chimique. De même, le corps ne doit pas avoir subi de thanatopraxie.

Les types d’enterrements bio

Le concept de funérailles écologiques est pratiqué au Royaume-Uni et aux États-Unis. Ils utilisent l’humusation qui consiste à transformer le corps du défunt en compost. Il se déroule en 4 étapes et dure 1 an. Le défunt est enveloppé dans un linceul biodégradable, puis déposé sur un tas de copeaux de bois et recouvert d’une autre couche de 2 m3.

Le linceul se présente sous forme de drap en amidon de maïs, en soie, en laine, en lin ou en coton. Les os et les chairs se détachent et commencent à disparaître après trois mois, sous l’effet de la chaleur (une température entre 60 et 70°). Au bout d’un an, il ne reste plus de traces du corps grâce aux actions des vers, des champignons et des micro-organismes. Il ne reste que de l’humus qui fertilise les arbres.

La promession est une autre forme d’enterrement écolo à la fois stérile et inodore. Elle consiste à refroidir le corps dans de l’azote liquide à -196°C. Par conséquent, le corps devient plus rigide et facile à casser. On le désagrège avec des vibrations pour obtenir de la poudre. Cette dernière est placée dans une urne incinérée et dégradée. Cette technique d’enterrement est généralement utilisée en Afrique du Sud, en Corée du Sud, en Angleterre et en Suède.

Quant à la liquéfaction, appelée aussi aquamation, elle consiste à liquéfier le corps du défunt dans une solution alcaline. Le procédé, appelé hydrolyse alcaline, consiste à réduire la chair en fine poudre blanche. Contrairement à la crémation, cette pratique émet moins de gaz à effet de serre. Les éléments métalliques du corps sont récupérés et le fluide ne sera pas rejeté. Cette technique consomme également moins d’énergie.

Recycler, un geste de bon sens

Le recyclage est une autre manière de redonner vie à un objet qu’on n’utilise plus. Il peut s’agir d’un déchet (comme une ampoule grillée, une canette en aluminium), mais également d’un objet plus ou moins en bon état (tel que les téléphones portables, le mobilier de bureau, etc.), mais en fin de cycle de vie. Dans tous les cas, au lieu de les jeter systématiquement, redonnez-leur une nouvelle vie. Vous serez surpris de ce que vous pourrez faire à partir de ces objets.

Si l’objet est en bon état, mais inutilisable (comme un pneu usé), au lieu de le jeter directement, faites-en un bac à fleurs que vous installerez dans votre jardin. En faisant preuve d’imagination et de créativité, vous obtiendrez un objet à la fois pratique et décoratif, et ce en ne dépensant presque rien. Vous pouvez aussi utiliser des palettes en bois en guise de tête de lit. Peu importe la destination des objets à recycler, vous participez à la réduction de l’empreinte carbone en recyclant plutôt qu’en achetant ou en jetant.

Un impact positif sur l’environnement

La planète est le premier bénéficiaire du recyclage. En effet, la réduction des déchets est préconisée en ce sens : la population produit moins de déchets et le nombre de sites d’enfouissement de ces derniers diminue. De ce fait, la qualité de la terre et des ressources sur ces sites sera préservée. Par ailleurs, l’utilisation de matériaux recyclés minimise la production à grande échelle de produits de grande consommation, responsables d’émission de gaz à effet de serre, et cela, depuis leur production jusqu’à leur fin de vie, en passant par leur transport.

Quoi qu’il en soit, sachez qu’il existe une attitude plus responsable de traiter les déchets nocifs tels que les composants d’un téléphone portable qui ne fonctionne plus ou autre. Pour ce faire, faites appel des professionnels de la collecte et recyclage de déchets.

Quant aux entreprises, elles peuvent également miser sur le recyclage de déchets en entreprise. Si elles sont en région Île-de-France, elles peuvent notamment collaborer avec Cycladis pour assurer le recyclage, mais également le tri, la collecte, la valorisation de déchets en entreprise.

Bref, le recyclage n’est pas que l’affaire des particuliers. C’est également l’affaire des entreprises.

Une association pour la protection de l’environnement agréée

Une association environnement a le choix entre divers objets pour axer ses activités :
• La protection de l’environnement en général
• La protection de la nature,
• La protection de l’eau, de l’air, des sols, des sites et paysage,
• La protection de l’urbanisme,
• La lutte contre les pollutions et les nuisances,
Dans l’exercice de ces activités, l’institution de protection de l’environnement pourra faire face à des différends en surprenant, par exemple, des faits délictueux : une délinquance ou un crime écologique qui peut être de la déforestation, de l’exploitation de ressources interdites (bois précieux, ressources minières…). L’association pour l’environnement a intérêt à être agréée pour pouvoir agir en justice contre les auteurs de crimes environnementaux, pour attaquer tout règlement contraire à ses intérêts (dans son activité, et pour participer à toutes négociations nationales ou régionales ayant trait à la politique de protection de l’environnement.

Institution pour l’environnement : demande d’agrément

Pour que l’association pour la protection de l’environnement puisse exercer ces prérogatives, il lui faut remplir les conditions suivantes :
• L’association est active et est déclarée depuis au moins 3 ans ;
• Elle agit à but non lucratif et est gérée de manière désintéressée ;
• Elle exerce les activités citées ci-dessus, de manière effective et publique ;
• Elle justifie d’un nombre suffisant de membres ou d’associations fédérées participant aux moyens financiers ;
• Tous les membres de l’association environnement participent à l’élection ainsi qu’au contrôle des dirigeants ;
• La gestion des fonds de l’association ainsi que les comptes sont accessibles à tous les membres.
La demande d’agrément est à déposer ou à envoyer par lettre RAR à la préfecture du département du siège de l’association. Le dossier en triple exemplaire comprendra les statuts, l’adresse du siège ou l’adresse postale de l’association, la zone géographique de compétence, les documents d’enregistrement au JOAFE et tout ce qui concerne les membres de l’administration de l’association. Les documents concernant :
• La zone d’activité de l’association environnement ;
• Les comptes rendus de l’assemblée, les rapports d’activités et financiers approuvés ;
• Tout ce qui est en rapport avec la cotisation et les dépenses ;
• Les membres de l’association ainsi que les dates de réunions
pour les 3 années doivent y être joints. La décision d’agrément sera rendue par le préfet ou par le ministre chargé de l’environnement, pour une durée de 5 ans.

Les droits d’une association pour l’environnement non agréée

L’association environnement non agréée peut seulement se constituer partie civile en cas de préjudice subi du fait d’un règlement, ou informer le préfet d’un danger imminent contre l’écologie, ou encore se voir attribuer la gestion de réserves naturelles.

L’upcycling pour redécorer son intérieur

Le style vintage qui fait ravage en ce moment est un mode d’externalisation de l’écoresponsabilité. Car qui dit vintage, dit un objet qui a déjà été utilisé auparavant, et qui va avoir une seconde vie, ou même une seconde apparence. C’est cela l’upcycling. C’est le processus selon lequel on choisit des objets anciens pour les « customiser » et leur donner une nouvelle forme. C’est un peu du relooking d’objets anciens ou d’objets qu’on utilise plus et qui sont longtemps restés dans notre armoire.
Vous pouvez par exemple recycler une vaisselle que vous n’utilisez plus pour la transformer en un objet de décoration murale à placer dans votre chambre, dans votre salon ou dans la salle à manger.

Pour adopter le zéro déchet dans la salle de bain et dans la cuisine, Mamaisonmasante propose différentes alternatives pouvant vous guider et vous donner des idées. Vous pourrez ainsi remplacer les objets du quotidien par d’autres objets plus respectueux de l’environnement.

Dans tous les cas, pour adopter le zéro déchet, n’oubliez pas la première règle : limitez l’usage d’objets à usage unique. La seconde règle est d’acheter que ce dont on a réellement besoin. Enfin, recyclez, réutilisez et compostez vos déchets en cuisine.

Investir dans le durable

Pour décorer votre maison, vous pourrez miser sur des décorations faites en bois. Vous pouvez notamment user des caisses en bois, qui sont très tendance et qui offrent un style rétro à votre maison. Ces dernières peuvent aussi vous servir comme étagère, table de chevet ou table TV. Vous pouvez les peindre pour donner votre touche personnelle.
Essayez d’investir dans des pièces de qualité, mais qui ont plus de durée de vie que celles qui sont faites en plastique. Pour éviter de changer à chaque fois votre déco d’intérieur, choisissez des décorations neutres, sobres, et intemporelles. Ainsi, vous ne vous en lasserez pas de sitôt. Même si investir dans les meubles en bois ou dans une matière plus durable est beaucoup plus cher, vous pourrez toujours vous réjouir d’user de matériaux de qualité et qui respectent l’environnement.
Mais si vous avez vraiment envie de donner un nouveau souffle à votre intérieur, vous devriez envisager de garder certaines pièces. Vous pouvez les repeindre ou les transformer en un nouvel objet. Les objets que vous ne voulez pas garder et que vous n’avez pas envie de transformer peuvent être donnés à des associations, à des amis, etc. Ainsi, ils serviront à d’autres. Si vous voulez gagner quelques euros, vous pouvez aussi mettre en vente les objets que vous ne désirez pas garder.

Leur apprendre à ne pas gâcher l’eau

Il est nécessaire d’expliquer aux enfants que le gaspillage d’eau fait partie des facteurs de la dégradation de l’environnement. Le mieux serait de leur apprendre à gérer l’eau qu’ils utilisent durant leurs toilettes. Par exemple, vous pouvez leur dire qu’ils n’ont pas besoin de trop remplir la baignoire pour prendre le bain. Vous pouvez aussi juste leur proposer de prendre une douche au lieu d’un bain pour économiser un peu d’eau. Sinon, vous pouvez leur conseiller de fermer les robinets quand ils se frottent ou quand ils sont en train de brosser leurs dents.

Leur apprendre à économiser les papiers

La première chose à faire serait d’expliquer aux enfants qu’on a besoin du bois pour fabriquer du papier. Vous devez leur faire comprendre qu’en limitant l’utilisation des papiers, ils contribuent à la protection de la forêt, donc de l’environnement. Ainsi, ils pourront faire attention au gaspillage des pages de leurs cahiers. Ils pourront également comprendre pourquoi ils n’ont pas le droit de jouer avec les papiers.

Leur apprendre à utiliser la poubelle et à recycler les déchets

Il est essentiel d’expliquer aux enfants que le fait de jeter les ordures partout peut détruire l’environnement vu que ces ordures renferment des matières non dégradables. En comprenant cela, ils pourront faire attention et garder leurs emballages de goûter dans leur sac ou dans leur poche jusqu’à ce qu’ils trouvent une poubelle. Par ailleurs, vous pouvez aussi leur apprendre à trier les déchets. En triant leurs propres ordures, ils pourront sauver l’environnement contre les incinérations et les fumées polluantes, mais ils pourront également développer leur esprit créatif. Montrez-leur alors le bon exemple et essayez de les convaincre qu’il est entièrement possible de fabriquer plusieurs choses utiles avec les boîtes, les bouteilles et les cartons jetables.

Le recyclage des déchets électroniques

Le grand problème actuellement est qu’un déchet électronique sur cinq est recyclé. Les restes sont donc soit enfouis, jetés dans les décharges ou encore incinérés. Pourtant, ce genre de geste pollue énormément l’environnement. Et selon le rapport de l’union internationale des communications établi par des experts, la masse de déchets augmentera de 17% d’ici deux ans. Cette progression est très alarmante et préoccupante. À part les impacts environnementaux, des répercussions sur l’économie sont aussi à envisager. En fait, tous les matériaux contenus dans ces déchets électroniques sont onéreux. L’évaluation est de 55 milliards d’euros. Il est donc primordial de trouver des solutions sur comment recycler les déchets électroniques.

Pourquoi les déchets électroniques sont-ils dangereux ?

Pour concevoir un ordinateur de 24 kg, les fabricants ont besoin d’au moins 240 kg de combustion, 1,5 tonne d’eau et aussi de 22 kg de produits chimiques. La création d’un modèle plus réduit requiert l’usage de 1,7 kilos d’énergie fossile et une barrette mémoire de 32 Mbit qui pèse environ 2 grammes. 72 grammes de produits chimiques, 1 m3 d’azote et 32 litres d’eau sont aussi nécessaires. Il faut savoir qu’une fois construit, un PC comporte du cyanure, du plomb et bien d’autres substances néfastes à l’environnement. Dans les écrans, nous retrouvons du strontium, du baryum et du zirconium. Ces éléments chimiques intégrés sont extrêmement dangereux et génèrent des risques sanitaires à l’homme en plus de la pollution propagée dans l’atmosphère. L’exposition au mercure et au plomb, même à faible taux, est toxique pour les femmes enceintes et les enfants.

Les ordinateurs sont de petites bombes écologiques, et cela depuis leur production. À vrai dire, d’après les statistiques du ministère du Travail, la plupart des salariés font face à des maladies professionnelles. En ce moment, un citoyen européen produit 14 kilos de déchets informatiques en un an. Les appareils électroniques usagés sont juste mis en décharge. D’autres dispositifs qui peuvent être encore réparés et réutilisés sont exportés dans les pays en voie de développement. Le recyclage des ordures informatiques reste très minime. Pourtant, lorsque les produits électroniques sont incinérés ou détruits, les métaux lourds sont libérés dans l’atmosphère. De ce fait, le mercure dégagé dans l’atmosphère va s’accumuler dans la chaîne alimentaire, surtout dans le poisson. L’incinération du PVC engendre des rejets de furanes et de dioxines. Pour limiter les risques provoqués par les déchets électroniques, la réparation et le recyclage des appareils restent la meilleure solution.

Le punch needle, c’est quoi exactement ?

Le punch needle n’est pas un concept qui vient d’être inventé. Il existe depuis des lustres, mais vient de réapparaître pour le grand plaisir des créatifs. En effet, le punch needle est une forme de broderie. Il est réalisé avec des accessoires spécifiques comme l’aiguille à poinçon. Ce type d’outil valorise votre créativité et permet d’avoir une qualité et un visuel de broderie d’exception.
C’est également un concept qui se veut écologique. En effet, en adoptant cette technique, vous pouvez donner une seconde vie à un vêtement ou à votre linge de maison. En d’autres termes, le punch needle peut vous permettre de recycler d’anciens linges de maison et de les réutiliser sans les jeter. En effet, même si vous n’envisagez pas de vendre vos créations, votre savoir-faire sur le punch needle vous permet de personnaliser des objets de décoration avec le punch needle. C’est possible en retravaillant l’aspect de ses coussins, de son cache-pot, de ses oreillers, de tapis, etc. Bien évidemment, avec de l’expérience, vous pouvez gagner de l’argent avec le punch needle.

Quelques bases à connaître pour faire du punch needle

Si vous avez envie de vous lancer dans le punch needle pour des créations DIY d’exception, sachez que de nombreux tutoriels en français sur le Net peuvent vous aider. Ils permettent d’avoir un aperçu de ce qu’il faut faire pour réaliser des créations personnalisées et de qualité. Si vous voulez vous y lancer, vous devez avoir une aiguille à poinçon ou à puncher. Il est également indispensable de disposer d’une ou de plusieurs pelotes de laine en différentes couleurs. Il vous faut aussi une toile ainsi qu’un tambour. Et si vous en avez besoin, vous pouvez également vous équiper d’un cadre. Dès lors que vous avez tous les outils à votre disposition, vous devez apprendre quelques bases importantes du punch needle. Pour ce faire, vous pouvez lire des livres, regarder des vidéos sur Youtube ou suivre les méthodes proposées sur les sites comme https://punch-needle.com/. Vous devez notamment savoir comment réaliser des bouclettes, mais aussi comment faire des points plats. Tout cela demande des gestes précis à adopter. Apprenez également les divers types d’aiguilles de punch needle. Une fois les bases acquises, prenez votre tambour et réalisez un dessin qui vous servira de base pour effectuer votre broderie. Ensuite, enfilez l’embout de votre pelote de laine dans le trou de votre aiguille en pensant à toujours commencer la réalisation par les contours de votre dessin. Effectuez le remplissage de votre dessin en veillant à travailler de l’extérieur vers l’intérieur. Ceci étant, vous pouvez enlever la toile de l’outil à broderie avant d’y coudre un objet selon vos envies.

Tuer les micro-organismes

Faire installer un purificateur d’eau chez soi permet de prévenir les maladies liées à l’eau. En effet, l’eau du robinet peut contenir des micro-organismes pouvant causer des vomissements, de la diarrhée, etc. C’est pourquoi il est recommandé d’utiliser un dispositif adéquat pour traiter et purifier l’eau.

La lumière UV émise par l’appareil ou le charbon actif utilisé (s’il s’agit d’un filtre à charbon actif) va tuer ces micro-organismes et rendre l’eau plus potable. Si vous ne souhaitez pas dépenser une fortune en achetant chaque semaine un ou plusieurs packs d’eau minérale en bouteille, la meilleure solution est d’acheter un purificateur d’eau. Vous pouvez confier à proveaux.fr son installation.

Éliminer les minéraux toxiques

En contact avec des roches et des sols, l’eau est naturellement une source d’apport en minéraux : magnésium, calcium, potassium, etc. Et l’eau du robinet en contient beaucoup. Même si certains de ces minéraux ne présentent aucun danger direct pour la santé, associés à d’autres minéraux, ils peuvent avoir des effets négatifs sur la santé. C’est pour cette raison que l’installation d’un purificateur est recommandée. Les agents désinfectants dont cet appareil est doté permettent de minimiser les risques et de prévenir les maladies.

Autres bonnes raisons d’utiliser un purificateur d’eau

Cet appareil de filtration présente d’autres avantages, et cela, sur plusieurs niveaux. Il élimine l’excès de calcaire dans l’eau du robinet améliorant ainsi son goût. Il filtre les impuretés comme les pesticides, les métaux lourds et les nitrates. Il stoppe également la prolifération d’algues et élimine les champignons.